Pour chaque kick du perturbateur (aimant dipolaire rapide), on maintient la phase constante par rapport à la synchronisation de référence à des fins de reproductibilité. Les signaux de l’électrode et du perturbateur sont enregistrés tour par tour.
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Perturber le faisceau au moyen d’un bump statique ou avec un kick dipolaire correspondent donc à deux réponses très différentes de l’électrode.
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![]() | (5.21) |
Ces résultats permettent de proposer pour la calibration du perturbateur P4, la realtion entre sa tension et l’amplitude imprimée au faisceau :
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.
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![]() | (5.23) |
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![]() | (5.25) |
Il apparaît immédiatement que pour petit, l’effet est négligeable sur
.
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![]() | (5.26) |
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![]() | (5.27) |
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![]() | (5.28) |
avec et
où
et
sont les paramètres de Twiss. Si l’on
considère une distribution gaussienne d’écart type
des amplitudes
et
si l’on néglige le couplage (x-y), l’amortissement, l’excitation quantique et les
interactions entre particules, alors l’évolution du centroïde du faisceau suit la
loi21 :
![]() | (5.29) |
où est le numéro du tour après le kick d’amplitude
,
et
le facteur chromatique défini par :
![]() | (5.30) |
avec la fréquence synchrotron et
la dispersion en énergie.
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Plusieurs constatations sont à faire :
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